Je passe un peu en revue les directives utilisées dans le fichier de configuration du cache.
Nginx utilisé en reverse proxy sans le caching des pages ne rime à rien. On l’utilise pour servir du contenu statique afin d’accélérer grandement le temps de téléchargement, et croyez moi il est plutôt performant !
Un serveur proxy se met entre l’internaute et le serveur Apache par exemple (mais ça peut être n’importe quel serveur).
Directive | Signification |
proxy_cache | définit une zone mémoire partagée pour stocker le cache |
proxy_cache_bypass | |
proxy_cache_key | une valeur de type string, utilisée pour classer les parties du cache |
proxy_cache_lock | si plusieurs requêtes demandent une page non cachée, la première crée le contenu caché avant que les autres puissent lire le cache évitant à toutes les requêtes de demander du contenu dynamique |
proxy_cache_lock_timeout | |
proxy_cache_min_uses | nombre de fois qu’un contenu demandé avant d’être caché |
proxy_cache_path | répertoire ou sera placé le contenu caché, on y place les clé (qui identifie les pages cachées) et le métadonnées |
proxy_cache_use_stale | définit le cas de figure où l’on sert du contenu caché lorsque l’appel au serveur du backend (Apache) donne une erreur |
proxy_cache_valid | durée du vie du cache (la page web doit retourner 200,301 ou 301), ici cela veut dire que les page retournant un code cité ci-dessus sera caché, les pages 404 par exemple ne sont pas cachée |